• En Chine, des scientifiques ont révélé cette semaine dans le Hong Kong Medical Journal, le cas d'une petite fille née en 2010 avec ce que les docteurs ont d'abord pris pour des tumeurs. Ces deux masses étaient situées au niveau de son ventre. Elle a donc été opérée alors qu'elle n'avait que deux semaines afin de les extraire.

    Ce n'est qu'ensuite que les médecins ont découvert que ces deux masses étaient en réalité des foetus morts âgés entre 8 et 10 semaines. Tous les deux possédaient les prémices de quatre membres, d'une colonne vertébrale, d'une cage thoracique, d'intestins et d'un anus. Ils étaient reliés par un cordon ombilical à une sorte de masse comparable à un placenta.

    "Vu qu'il est impossible que cette petite fille soit à l'origine de leur conception, nous pouvons affirmer que cette fécondation est à attribuer à ses parents. Ces foetus de jumeaux se sont greffés au foetus de leur grande soeur et se sont développés dans son abdomen" explique un médecin local dans le South China Morning Poster.

    Ce type de grossesse est extrêmement rare et concernerait, d'après Newser, une naissance sur 500.000. Il s'agissait du deuxième ce cas signalé dans la région.


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  • Il y a des jours avec et des jours sans. Cette Sud-Coréenne vous le confirmera certainement. Alors qu'elle faisait le ménage chez elle, celle-ci a fait une mauvaise chute et la pauvre femme s'est retrouvée la tête coincée dans son aspirateur, au niveau des cheveux.

    Si on ne connait pas les circonstances exactes de l'accident, il n'empêche que cette dame de 52 ans n'a pas eu d'autre choix que d'appeler les secours pour se sortir de cette position délicate. Les pompiers lui ont donc apporté leur aide. Il aura tout de même fallu démonter l'appareil pour parvenir à la libérer. Si la ménagère s'en sort relativement bien, l'aspirateur lui n'a pas survécu à l'incident.


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  • A la suite d'une plainte des héritiers du peintre, Pierre Le Guennec et son épouse Danielle, de modestes retraités septuagénaires, devront expliquer comment ils sont entrés en possession d'une telle quantité d'oeuvres. Ils ont été mis en examen en mai 2011 pour "recel de biens provenant d'un vol".

    Le trésor hétéroclite comprend notamment six petites huiles sur toile et 28 lithographies (dont 14 fois la même), des collages cubistes, des carnets de dessin. L'avocat du couple, Me Charles-Etienne Gudin, distingue seulement une dizaine d'oeuvres de valeur, le reste étant "très médiocre". D'ailleurs "Picasso n'a jamais cherché à les vendre !", dit-il.

    L'ancien électricien affirme que les oeuvres lui ont été données par Picasso et son épouse Jacqueline, lorsqu'il effectuait des travaux dans son mas de Mougins, près de Grasse, dernière demeure de l'artiste, décédé en 1973. "Il m'invitait souvent à prendre un gâteau, un café, on parlait de tout et de rien avec le maître", avait raconté M. Le Guennec à l'AFP en 2010. "Un soir que je quittais mon travail, Madame m'a tendu un petit paquet en disant 'C'est pour vous'". "Quand je suis revenu à la maison, j'ai vu des esquisses, des dessins au crayon, je n'y connaissais rien... Si Madame m'avait donné une peinture, là oui ça m'aurait fait drôle !", a-t-il expliqué.

    Face à eux, Claude Picasso, fils du peintre et administrateur de la Picasso Administration qui authentifie ses oeuvres et gère les droits, ainsi que six autres héritiers de Picasso et ses quatre muses, parties civiles. Les avocats des héritiers n'ont pas besoin de désigner un voleur mais devront démontrer par un faisceau d'indices que le couple "connaissait l'origine frauduleuse des oeuvres", explique une magistrate.

    "Pas facile de voler" chez Picasso

    Le cadeau secret avait fait sensation lorsque M. Le Guennec s'était rendu à Paris à l'automne 2010 auprès de la Picasso Administration pour obtenir des certificats d'authentification. "Ils ne se souviennent de rien, s'ils ont reçu ce don en 1970, 1971, 1972 (...) Si on vous donne 271 Picasso, vous vous en souvenez!", s'exclame Jean-Jacques Neuer, avocat de Claude Picasso. Les oeuvres s'échelonnent entre 1900 et 1932. "Il faudrait imaginer que Picasso les a gardées pendant 70 ans et a une volonté tout à coup de les donner", note-t-il. Elles ne sont pas signées. Or, "Picasso signait au dernier moment, pour les donner ou les vendre", rappelle cet administrateur de la succession de l'artiste.

    L'ancien électricien dispose seulement d'une brochure d'exposition dédicacée en 1971. "Cela montre leur niveau de proximité!", assène Me Neuer. "Quand vous faites un cadeau, vous allez choisir une chose précise qui correspond à la personne. Picasso offre ici des oeuvres qui n'ont rien à voir les unes avec les autres. Notamment des collages cubistes extrêmement précieux, 10% de sa production ! Mais aussi deux carnets de dessins, des instruments de travail dont il ne se serait pas dessaisi", détaille-t-il. "Le problème n'est pas de savoir si Picasso était généreux ou pas", argue l'avocat. "Picasso n'était pas quelqu'un d'inconscient de ses oeuvres, il ne donnait pas n'importe comment".

    Pour Me Gudin, "ce n'était pas facile de voler dans les ateliers de Picasso qui avait une mémoire extraordinaire". Et de décrire sa dernière demeure comme "une forteresse" surveillée par deux gardiens.


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  • Commandée par les services municipaux pour égayer le quartier ouvrier de New Lynn, la sculpture en question, qui porte le nom de Transit Cloud et qui a tout de même coûté 130.000 euros, fait pourtant fort penser à autre chose. Mais Gregor Kregar insiste: il s'agit juste d'un nuage dans le ciel. Et d'ajouter que les luminaires, qui n'ont pas encore été accrochés au coeur de son oeuvre, viendront apporter une toute autre vision de la chose.
    "Les gens aiment voir ce genre de choses un peu partout. Techniquement, tout peut être phallique: un arbre, un lampadaire. J'ai fait des études artistiques durant des années et je n'ai jamais vu là-dedans un phallus de six mètres" a-t-il confié à l'agence australienne Fairfax Media.

    Il n'empêche que son "nuage" a les boules de toute évidence. Mais pas autant que les habitants d'Auckland qui trouvent ce choix de très mauvais goût et qu'ils considèrent donc comme une dépense pas très judicieuse. Et lorsque le journal local New Zealand Herald demande aux passants de décrire l'objet, c'est toujours la même rengaine: "Oh mon Dieu, c'est un zizi et des boules", ou "C'est sans nul doute un pénis. Qu'est-ce que ça pourrait être d'autre ?", ou encore: "Ce n'est certainement pas un nuage. Mais ça ressemble bien à un pénis".


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  • Le Meowlingual, c'est le nom de ce petit appareil censé nous permettre de discuter avec notre chat. Selon les créateurs de cet engin fabriqué au Japon, ce boîtier est capable de distinguer 21 émotions, six humeurs et de traduire les miaulements de votre petit compagnon en plus de 200 mots différents. Mais ce n'est pas tout, le Meowlingual permet également de vérifier l'état de santé de l'animal.

    Mais discuter avec son chat a un coût et non des moindres. Il vous faudra débourser 169 dollars soit environ 150 euros pour comprendre votre boule de poils si complexe par moment.


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