• A Recife au Brésil, le club de football de seconde division a trouvé un moyen coercitif d'un nouveau genre pour enrayer la violence dans le stade. Les mères des hooligans les plus connus du club ont été invitées à devenir stewardesses lors des rencontres délicates.

    Contre toute attente, elles ont été très nombreuses à répondre à l'appel du club de Recife afin de calmer les élans d'agressivité de leurs fils et ainsi les tirer d'un mauvais pas ou leur éviter des blessures graves. Affublées de vestes orange fluo, elles forment le nouveau cordon de sécurité autour des supporters à problèmes. Actuellement au nombre de trente, elles usent de leur regard le plus sévère pour décourager les plus belliqueux.

    Et comme à la maison, on dirait que la surveillance maternelle est un succès: le premier derby (contre Nautico) qui bénéficiait de la "patrouille des mamans" s'est déroulé dans une ambiance plutôt bon enfant. Pourtant, tous les affrontements précédents entre les deux équipes avaient jusque là tourné au pugilat dans les tribunes.

    Aucun incident recensé cette fois, et Arico Forte, qui a eu l'idée originale de faire appel aux mères des hooligans, n'est pas étonné de la réussite de ce concept: "Personne ne va mal se comporter avec sa mère dans les parages ! Les mères ne courent aucun danger non plus (contrairement aux agents qui officiaient à leur place): des fils ne feront jamais de mal à leur maman, ou celle de leurs amis !".


    votre commentaire
  • Cette campagne a notamment valu au maire élu avec le soutien du FN d'être vertement critiqué par la ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, qui a dénoncé "la tonalité délibérément provocatrice de la campagne".

    "Pourquoi cette polémique ? C'est une affiche qui dit les choses clairement, sans fioritures. Je voulais que les Biterrois sachent que leur police municipale était armée depuis le 1er février", a déclaré M. Ménard à l'AFP: "Voilà, le message est passé. C'est vrai que c'est percutant, explicite, mais c'est la réalité qui est percutante".

    "Pour moi, la provocation, c'est quand le Premier ministre est accueilli à Marseille à coups de Kalachnikov", a encore ajouté l'édile, en référence aux tirs qui ont retenti dans la cité marseillaise de La Castellane lundi matin, quelques heures avant une visite de Manuel Valls. "A l'heure actuelle, Bernard Cazeneuve a d'autres chats à fouetter", a encore estimé M. Ménard: "Cette espèce de rhétorique, j'espère que c'est un gratte-papier de son ministère qui la lui a faite".

    "L'affiche a pour objectif de rassurer les Bitterois et d'expliquer aux délinquants et autres petits voyous que maintenant, ils peuvent vraiment commencer à s'inquiéter", a-t-il conclu.

    Placardée dans les rues de la ville, l'affiche présente en gros plan un pistolet avec un écusson tricolore sur la crosse. "Désormais, la police municipale a un nouvel ami", proclame-t-elle. "Armée 24h/24 et 7j/7, police municipale de Béziers", est également écrit, en plus petit.

    Détournements

    Sur les réseaux sociaux, elle a fait les délices des internautes qui l'ont déjà détournée de nombreuses fois, remplaçant le pistolet de l'affiche par un char d'assaut, une bouteille de pastis ou un cerveau, tour à tour présentés comme "le nouvel ami" de la police municipale. D'autres ont diffusé des caricatures de Robert Ménard ou des policiers municipaux biterrois en cow-boys.


    votre commentaire
  • Un décret municipal paru jeudi interdit "expressément" de se déguiser avec des "habits sacerdotaux" du 14 au 17 février.

    Il sera également prohibé de revêtir des tenues "dont l'imitation pourrait prêter à confusion", comme des uniformes de policier ou de pompier, a précisé la responsable de la communication de la mairie, Marisol Velasco.

    "Un prêtre est une autorité au sein de la communauté catholique, et agissant au nom de l'Eglise, des personnes peuvent commettre des délits", a-t-elle expliqué.

    Sont enfin interdits les masques et maquillages "qui couvrent la totalité du visage ainsi que les perruques qui modifient les aspects physiques".

    Les contrevenants s'exposent à des amendes de 25 à 1.500 dollars ou "à une arrestation", indique le décret signé du maire José Blandon, décret "appliqué depuis des années", selon M. Velasco.

    Au Panama, les carnavals ne se distinguent pas par leurs déguisements mais par des événements où la foule est aspergée d'eau des heures durant par des camions citernes au rythme de la musique.


    votre commentaire
  • "Si les couples Disney jouaient dans '50 Nuances de Grey'", titre cet article amusant du Cosmopolitan qui imagine les personnages de Disney dans la fameuse chambre rouge de Christian Grey.

    La Belle cravachée par la Bête, la Belle au Bois dormant attachée par son prince, Cendrillon adepte des boules de geisha, Jasmine fouettée par Aladdin, ou encore Anna et Kristoff s'amusant avec des sextoys... les personnages de Disney surfent également sur la vague du sadomasochisme, si l'on en croit les dessins réalisés par Alex Rees.


    votre commentaire
  • C'est une première mondiale que vient de réaliser le chirurgien américain Rafael Carrion. Cet urologue à l'Université de Floride reconnait avoir été plutôt surpris en rencontrant ce jeune patient de 17 ans qui lui a directement demandé "s'il était possible de rendre son pénis plus petit".

    Il faut dire que le sexe de ce jeune homme était véritablement au-delà de toutes les normes. Avec 18 centimètres de long et 25 centimètres de circonférence, son sexe avait la forme d'un ballon de rugby. Et selon le principal intéressé, il ne cessait de grandir. "Il lui était impossible d'avoir des relations sexuelles, de faire du sport ni même de porter un pantalon normal", confie le chirurgien au DailyMail.

    Pour les médecins, il s'agissait là d'un véritable défi. Jusqu'ici, aucune opération de ce genre n'avait jamais encore été réalisée. "Nous avons consulté les archives de long en large mais il n'y avait jamais eu de cas similaire".

    Après une longue réflexion, les chrirurgiens ont procédé à l'opération qui a été un véritable succès. Après deux jours d'hospitalisation, le jeune homme a pu quitter l'hôpital. "Il était tout sourire, il dit que ça a changé sa vie".


    votre commentaire